Simulateur de rentabilité locative fiable en 2 minutes
Estimez la rentabilité de votre investissement immobilier en seulement 2 minutes grâce à notre simulateur de rentabilité locative. Cet outil en ligne prend en compte tous les paramètres essentiels :
- budget global de votre projet,
- montant, durée et taux de votre crédit immobilier,
- loyers mensuels attendus,
- frais d’acquisition, charges et vacance locative.
Obtenez un calcul fiable du rendement locatif brut et net, afin de mieux anticiper la performance de votre bien immobilier. Que vous investissiez en location meublée (LMNP), en colocation ou en location classique, notre simulateur vous aide à prendre des décisions éclairées et à optimiser votre stratégie patrimoniale.

Vous souhaitez réaliser le meilleur investissement immobilier possible ? Contactez-nous dès maintenant, nos experts sont à votre écoute.
FAQ: Simulateur de rentabilité locative
Qu’est-ce qu’un simulateur de rentabilité locative ?
Un simulateur de rentabilité locative est un outil numérique conçu pour évaluer la performance financière d’un bien immobilier mis en location. Il permet à un investisseur de calculer, de manière rapide et fiable, les principaux indicateurs de rentabilité liés à un projet locatif, tels que la rentabilité brute, la rentabilité nette ou encore le cash-flow.
Grâce à cet outil, l’investisseur peut anticiper ses revenus locatifs futurs, estimer ses charges récurrentes, et simuler l’impact de la fiscalité sur ses bénéfices. C’est un véritable allié pour éviter les mauvaises décisions et orienter son choix vers un bien réellement rentable.
Quelle est la différence entre rentabilité brute et rentabilité nette ?
Il est courant de confondre ces deux notions, pourtant très différentes :
– La rentabilité brute est un indicateur simple. Elle se calcule en divisant le loyer annuel perçu par le coût total d’acquisition du bien (prix du bien + frais de notaire + travaux éventuels). Elle offre une estimation rapide mais peu précise de la performance de l’investissement.
– La rentabilité nette, en revanche, prend en compte l’ensemble des charges liées à l’exploitation du bien : frais de gestion, taxe foncière, assurances, charges non récupérables, vacance locative, etc. Elle offre une vue bien plus réaliste de ce que l’investisseur perçoit réellement.
En résumé : la rentabilité brute donne une idée, la rentabilité nette donne la réalité.
Que prend en compte un bon simulateur de rentabilité locative ?
Un simulateur efficace ne se contente pas de faire des calculs de base. Il doit intégrer une approche globale et réaliste de l’investissement immobilier. Voici les éléments clés qu’il doit considérer :
– Le prix d’achat du bien (avec frais de notaire et éventuels travaux)
– Le montant de l’apport personnel et du crédit immobilier
– Le taux d’intérêt et la durée de remboursement
– Les loyers attendus, avec une estimation de vacance locative
– Les charges mensuelles : taxe foncière, assurance, entretien, copropriété
– Les frais de gestion locative (agence ou non)
– Le régime fiscal applicable (LMNP, micro-foncier, réel, etc.)
– La tranche d’imposition du propriétaire et l’impact des prélèvements sociaux
Plus un simulateur est complet, plus les résultats obtenus seront précis, personnalisés et fiables.
Quelle rentabilité locative viser ?
La rentabilité locative idéale dépend du profil de l’investisseur et de ses objectifs. En général :
– En dessous de 3 %, l’investissement est souvent peu intéressant (sauf si forte plus-value espérée).
– Entre 4 % et 6 %, on parle d’un rendement correct dans une zone tendue ou sécurisée.
– À partir de 7 %, on entre dans la zone des bons rendements, souvent en périphérie ou en zones à potentiel.
– Au-delà de 10 %, cela peut cacher un risque élevé (vacance, mauvais emplacement, gestion complexe).
L’important est de viser une rentabilité cohérente avec le risque, tout en assurant un cash-flow positif ou neutre.
Un cash-flow positif signifie-t-il que le projet est rentable ?
Le cash-flow représente la différence entre les loyers perçus et les dépenses liées au bien (crédit, charges, impôts…). Un cash-flow positif signifie que le bien génère un excédent chaque mois, sans effort d’épargne supplémentaire de l’investisseur.
Cependant, ce n’est pas l’unique critère de rentabilité. Un bien peut avoir un cash-flow positif tout en présentant une rentabilité faible ou une perspective de valorisation limitée. À l’inverse, un bien à cash-flow légèrement négatif peut s’avérer très rentable sur le long terme, notamment s’il se valorise fortement.
En somme, le cash-flow est un indicateur de trésorerie, pas forcément de rentabilité globale.